Face au déni de démocratie, Biblio Debout passe à l’action !

TEMOIGNAGE – Contrairement à la plupart des semaines précédentes, la Biblio Debout n’a pas été installée tous les soirs place de la République ces derniers jours. Notre groupe a en effet décidé que face au déni de démocratie que constitue le recours au 49.3 par le gouvernement pour faire passer en force la loi travail, il fallait donner la priorité à l’action et à la participation aux manifestations organisées par les syndicats et/ou Nuit Debout.

Plusieurs d’entre nous ont participé aux sit-in devant l’Assemblée nationale qui ont eu lieu ces derniers jours, ainsi qu’à la manifestation d’hier. Nous appelons tous ceux qui partagent notre réprobation envers les méthodes du gouvernement à se joindre à la journée de mobilisation internationale “Global Debout” du 15 mai, ainsi qu’aux grèves et manifestations annoncées pour le mardi 17 mai.

En ce qui concerne les prochains jours, nous vous incitons à consulter ce site régulièrement pour vérifier les moments où la BiblioDebout est présente place de la République. Nous reviendrons ce soir à partir de 18h30, ainsi que samedi et dimanche.

Nous publions ci-dessous les témoignages de deux de nos membres ayant participé à la manifestation d’hier et au rassemblement devant l’Assemblée nationale.

Lire la suite de l’article sur le site de Biblio Debout.

Crédits photos:

  • Galerie Borenstein: Daphné Borenstein/DR

Une réaction sur cet article

  • 14 mai 2016 at 9 h 32 min
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    Bonjour à vous autres, les debout la nuit et pas « couchés » la journée; bravo et continuez, persistez et signez; vouloir savoir, le désir d’entrer dans la connaissance, en commençant par la bibliothèque est le début de la mobilisation; d’abord par l’Esprit et ensuite dans la vie au quotidien. On ne peut pas gazer l’Esprit, la soldatesque ne sait pas bastonner l’Esprit. Il faut toujours garder l’Esprit debout; c’est toujours ainsi que j’ai lutté et lutte aujourd’hui. Il faut porter la connaissance, La Culture sur la place publique, et non plus la cantonner dans les rayons où le livre n’est qu’un objet inerte. C’est lorsqu’il est lu, remué, pigé, relu, annoté que le livre devient un corps vivant et arme de subversion.. D’après vous, pourquoi les dictateurs détruisent les bouquins? « Et cependant, Elle tourne.. » Salutations..

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