Tailleurs de pierre Debout

REVENDICATION. L’idée de Pierreux Debout est de remettre l’humain et le goût des belles choses au cœur de leur métier, par la création d’amicales ouvrières, de représentants en cellules collégiales, et ce pour dénoncer les abus, se soutenir, exprimer les soucis de chacun…

Logo Pierreux Debout

« Nous sommes ulcérés par l’attitude des chefs d’entreprises et des commerciaux, qui font la course à la rentabilité aux dépens des conditions de travail, et par les grands groupes tels que Bouygues ou Vinci, qui imposent des contraintes intenables. Notre métier, millénaire, est le fruit d’une transmission, d’un long apprentissage, de savoir-faire uniques.

Pierreux se dresse

Aujourd’hui, les entreprises suppriment peu à peu les primes de poussière, jouent la rivalité entre les gars. Les petites entreprises et les artisans subissent une pression insoutenable. Nous finissons par ‘bâcler’ le travail, pour revenir dix ans après réparer les erreurs.

Bref, l’humain passe au second plan. Les normes de sécurité sont a minima faute de contrôleurs du travail en nombre suffisant. Les médecins du travail reçoivent des consignes pour que tout le monde soit apte. Cela, pour éviter de mettre en évidence des maladies professionnelles. Il y a un ras le bol général. »

 Le temps ne pardonne pas ce que l’on fait sans lui.

Pierreux Debout.

Tract Pierreux Debout

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6 réactions sur cet article

  • 30 avril 2016 at 12 h 51 min
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    Debout contre quoi ?!!! Contre qui ?!!! Contre la République qui nous encule ?!!! Contre la démocratie grâce à laquelle l’oligarchie Atlanto-Sioniste nous lime l’anus ?!!! Contre le nouvel ordre mondial ?!!! Debout contre quoi, Bordel de cul ?!!! Qui finance « Nuit debout » ?!!! Qui s’occupe de sa communication ?!!! D’où vient le pognon pour l’organisation ?!!!

    Je suis tailleur de pierre depuis plus de 30 ans et je ne crois pas qu’une bande de fumeur de joints soit capable de changer grand chose, surtout quand c’est bordé par la Mairie de Paris…une bande de Bisounours qui ferait plier le capital…avec un joint dans une main, une bière dans l’autre…le tout avec les idées périmées de mai 68…laissez nous rire…

    Le seul moyen de se révolter du système qui nous sodomise chaque jours: 2017 Marine LePen au premier tour…

    Pour le reste, Nuit Debout, fumeurs de joints, dread loqueux , fascistes rouges totalitaires antifa de nos couilles, clodaux cradaux teuffeurs et autres branleurs et demi-branleurs, allez donc vous rentrer la statue de la république dans le cul!

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  • 30 avril 2016 at 13 h 00 min
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    Pierreux debout, c’est le rassemblement de tous les branleurs fumeurs de joints et bons à rien qu’on trouve dans le métier ? Les dread-loqueux, les alcooliques, les fumeurs de joints, les teuffeurs et autres branleurs que compte malheureusement notre métier ?

    Nuit Debout, c’est pas la mairie de Paris qui paye ? Et pourquoi la mairie de Parie paierait pour cette connerie ? Pour cette merde ? Dans quel intérêt ?

    Attendez qu’on se révolte, nous les vrais gens, on aura pas 15 joints dans la tête quand on le fera, y’aura pas de musique et il faudra vous planquer les gamins…

    Allez vous faire enculer! (s’il vous plaît)

    SORAL A RAISON!

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  • 30 avril 2016 at 15 h 31 min
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    Pas très constructifs (un comble !), les deux commentaires précédents (sans doute de la même barrique 😉 )…
    Il y aurait pourtant beaucoup de choses à dire sur l’état des lieux et le devenir de notre métier sans tomber dans la vulgarité, l’insulte et la menace.
    Il y aurait tant de choses à repenser, à rebâtir, à ravaler…

    Pour mon humble part, je n’ai pas encore trente de métier comme semble s’en vanter Gérard, mais un peu plus de vingt ans tout de même et le constat est simple dans son évolution : c’est un désastre.

    Je serais très heureux d’en discuter ici avec des gars corrects et concernés connaissent le métier et qui voudraient bien se recentrer sur le sujet qui nous occupe et nous préoccupe.

    Enfin : difficile d’accepter et de laisser dire ce qui vient de précéder, c’est lamentable…

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  • 30 avril 2016 at 18 h 24 min
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    je ne sais pas quoi penser des commentaires, et de ce texte, pour ma part je n’ai été pierreux que 15 ans pour me recycler dans le vitrail par la suite car j’adorais le métiers mais le milieux je n’en pouvais plus pour un peu tout ce qui est évoqué dans le texte…. le management par la peur , dresser les gens les uns contres les autres….. et ce que je trouve déplorable là c’est Gérard (pas beaucoup plus d’estime pour hervé m’enfin) qui casse les jeunes , sauf que si on se renseigne sur le projet de loi(ouais les jeunes sont trop con pour le faire visiblement un joint dans chaque main toi c’est quoi ton excuse?) on vois que l’indemnité maximal pour licenciement abusif sera de 15 mois …autrement dis il coutera moins cher au groupe deja millionnaire de licencier un ancien et lui payer le licenciement abusif(au cas ou celui ci porte plainte et en enlevant les frais d’avocat) que de lui payer son ancienneté et que tout les grandes gueules a tort ou a raison hein vont sauter en premier….tout les délégués syndicaux tout les anciens zélées …. tout ceux qui dirons non en somme…..15000 euros et hop ton ancienneté Gérard, tes 30ans….on s’en branle tu repensera alors au fumeur de joint tu criera a la révolte et t’aura sans doute raison sauf que ça aura deja ete fait… sans toi…et quand t’aura eu le temps t’aura cracher dessus

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  • Pingback: Commissions : Les 89 minis think-thanks de Nuit Debout – Gazette Debout

  • 12 mai 2016 at 9 h 52 min
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    Se lever pour la Nuit Debout !
    Pourquoi pas.

    Pour agir, depuis plus de 20 ans, dans et hors des entreprises, à construire quotidiennement la conscience de classe qui seule permettra de dépasser l’ intérêt essentiellement individuel de beaucoup de salarié du Bâtiment, je demeure persuadé que c’est bien dans la lutte interprofessionnelle au sein de nos syndicats d’industrie qu’il faut être.

    Les collectifs éphémères peuvent être momentanément un levier de prise de conscience et d’organisation, mais la lutte a besoin de permanence et de mémoire.
    Nos syndicats sont bâtis pour cette tache.

    Cordiales Salutations Syndicalistes

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